Carte postale : le Sri Lanka
Le Sri Lanka est à l’Inde ce que la Corse est à La France, une excroissance conflictuelle dont la singularité vous arracherait une larme. A moins que cela ne soit le piment, présent dans tous leurs menus, servis à la caste. Le Sri Lanka est donc une terre de Cingh(a)lais. Comme son nom ne l’indique pas, le Cinghalais vénère Boudha, d’où une propension à la sieste et à la calvitie. Attention l’autochtone ne doit pas être confondu avec son ennemi juré, le tamoule à gauffre. Au milieu subsistent quelques athées, en plantations uniquement. Très porté sur la chose, le Cinghalais aime à taquiner le criquet. Avec des battes en bois et en public. Des Cinggh(a)lais qu’on vous it. Occasionnellement, des défilés à base de pachydermes à trompe, et d’enfants, sans trompes (les filles étant proscrites) sont également organisés. Enfin le Cingalais roule comme tel. Aussi, une horde de chauffeur à la noix peuplent le pays si bien que je n’ai jamais eu à dire « c’est lent ».
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